photo My body is a cage, mon corps est une cage

My body is a cage, mon corps est une cage

Théâtre

CAEN 14000

Le 09/11/2021

La Comédie de Caen accueille une pièce dans son nouveau théâtre des Cordes.La fatigue c’est beaucoup plus que la fatigue. Cet état qui hante la littérature de Beckett à Handke est une épreuve bien réelle qui affaiblit physiquement et psychiquement. Ces moments de vulnérabilité, chacun les traverse sans toujours les écouter, ni se les avouer. La comédienne Ludmilla Dabo (Harlem Quartet, Portrait de Ludmilla en Nina Simone) s’est souvent sentie prisonnière de cette fatigue : elle a fait le choix de l’exposer, de la revendiquer et de la transformer sur scène avec cinq femmes dans un cabaret revigorant. Elle est convaincue que ces tiraillements intérieurs qui nous fragmentent et nous épuisent vont trouver dans cette forme leur juste expression et qu’à travers leurs chansons elle obtiendra un cocktail énergétique capable de déjouer la fatigue, de la partager et de l’interroger. My Body is a Cage est une sorte de manifeste joyeux, une invitation à ouvrir les yeux et à se défatiguer collectivement. Ludmilla Dabo fait désormais partie de l’ensemble artistique de la Comédie de Caen.Source et crédits photo : Comédie de CaenPlus d'informations et réservations sur[...]

photo Fyreaningar : concert de Ljodahâtt

Fyreaningar : concert de Ljodahâtt

Concert

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Le 20/11/2021

La Comédie de Caen accueille une pièce dans son nouveau théâtre des Cordes.La fatigue c’est beaucoup plus que la fatigue. Cet état qui hante la littérature de Beckett à Handke est une épreuve bien réelle qui affaiblit physiquement et psychiquement. Ces moments de vulnérabilité, chacun les traverse sans toujours les écouter, ni se les avouer. La comédienne Ludmilla Dabo (Harlem Quartet, Portrait de Ludmilla en Nina Simone) s’est souvent sentie prisonnière de cette fatigue : elle a fait le choix de l’exposer, de la revendiquer et de la transformer sur scène avec cinq femmes dans un cabaret revigorant. Elle est convaincue que ces tiraillements intérieurs qui nous fragmentent et nous épuisent vont trouver dans cette forme leur juste expression et qu’à travers leurs chansons elle obtiendra un cocktail énergétique capable de déjouer la fatigue, de la partager et de l’interroger. My Body is a Cage est une sorte de manifeste joyeux, une invitation à ouvrir les yeux et à se défatiguer collectivement. Ludmilla Dabo fait désormais partie de l’ensemble artistique de la Comédie de Caen.Source et crédits photo : Comédie de CaenPlus d'informations et réservations sur[...]

photo Penthésilé.e.s amazonomachie

Penthésilé.e.s amazonomachie

Théâtre

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Le 30/11/2021

La Comédie de Caen accueille une pièce de théâtre dans son nouveau théâtre des Cordes.Penthésilée est la reine des Amazones, tribu guerrière exclusivement féminine. Elle combat aux côtés des Troyens et elle est vaincue par Achille. À partir de ce mythe, Laëtitia Guédon et Marie Dilasser interrogent la relation complexe que les femmes entretiennent avec le pouvoir dans un monde où elles tentent de prendre une nouvelle place. Dans la première partie, cette question du pouvoir est traitée par l’intime. Penthésilée s’effondre, entre en transe, se tait, profère, se tait à nouveau. Puis la brume se dissipe pour laisser place à une reine en pleine puissance, qui fait face au masculin qui est en elle. Penthésilée, guerrière insatiable, à la fois femme, homme et animal, est plurielle, inclusive. Au plateau, deux comédiennes et un danseur l’incarnent tour à tour tandis qu’un choeur de quatre chanteuses, comme dans la tragédie antique, scande l’action de cet oratorio-manifeste.Texte Marie Dilasser Conception et mise en scène Laëtitia Guédon Source et crédits photo : Comédie de CaenPlus d'informations et réservations sur le site de la Comédie de Caen.

photo Rimbaud en feu

Rimbaud en feu

Théâtre

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Le 21/11/2021

Dans le cadre de Dimanche au Théâtre, le Théâtre de Caen accueille la pièce Rimbaud en feu, tirée du livre de Jean-Michel Djian, avec Jean-Pierre Darroussin.En 1924, l’année même où André Breton publie le Manifeste du surréalisme dans les colonnes du Figaro, on retrouve l’auteur d'Une saison en enfer enfermé dans sa chambre d’hôpital à Charleville. Vivant il est, plus voyant encore qu’à 20 ans lorsqu’il décide d’en finir avec la poésie. C’est un génie en feu qui s’installe devant nous, hagard, illuminé mais plus flamboyant encore qu’il ne l’a jamais été. Ce n’est plus un corps qui parle, c’est une âme. Un homme « sans semelles et sans vent » qui invite sur son « Bateau ivre » aussi bien son infirmier que Paul Verlaine, Alfred Jarry, Ignace de Loyola, Léo Ferré… Comme si, sur un coup de folie, et avant que les derniers feux de la modernité ne l’accablent lui et ses semblables, Arthur Rimbaud s’autorisait une magistrale leçon de vie.

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